Plusieurs pays et constructeurs ont annoncé à Glasgow vouloir « faire en sorte que toutes les nouvelles voitures et camionnettes vendues soient zéro émission dans le monde d’ici 2040 et au plus tard en 2035 dans les principaux marchés ».

La déclaration n’est pas juridiquement contraignante, contrairement à l’annonce de la Commission européenne qui a fixé la fin de la vente des véhicules neufs à moteurs thermiques en 2035 dans l’UE. Parmi les signataires de la déclaration figurent le Royaume-Uni, le Canada, l’Inde, le Kenya ou le Rwanda, des régions comme la Californie ou la Catalogne, la plateforme américaine Uber, les constructeurs américains Ford et General Motors, l’Allemand Mercedes-Benz, le Britannique Jaguar Land Rover, le Suédois Volvo ou le Chinois BYD.

Ils voient dans cette transition de « nouvelles opportunités pour une croissance propre, des emplois verts et des bénéfices pour la santé publique grâce à une meilleure qualité de l’air », transition qui « pourrait aussi améliorer la sécurité énergétique et aider à équilibrer les réseaux de distribution d’électricité ».